Lettre n° 8948
Par la grâce de D.ieu,
8 Adar Richon 5725,
Brooklyn,
Aux dirigeantes de l’association des femmes ‘Habad, dans
la ville de New Haven, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai eu connaissance, avec plaisir, de l’activité de votre groupe et de la dernière réunion qui a été convoquée, de même que de la chaleureuse motivation des participantes, comme le précise la lettre de madame Sarah Deutsch. D.ieu fasse que cette introduction soit en un bon moment et d’une manière positive.
Les activités que vous décrivez et celles qui y prennent part seront, d’après l’expression de la Sidra de cette semaine, “ pour élever la lumière perpétuelle ”. On fera donc en sorte que la lumière juive, l’âme d’un Juif, de laquelle il est dit : “ la lumière de D.ieu est l’âme de l’homme ”, soit brillante chez chacun, qu’elle illumine en permanence la maison et l’entourage, matériellement et spirituellement. De la sorte, à n’en pas douter, on attirera le plus grand nombre de femmes juives, dans l’esprit de ce qui vient d’être dit, conformément aux exigences et aux espoirs de nos maîtres et chefs, dont le mérite nous protégera. Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles très rapidement,
8 Adar Richon 5725,
Brooklyn,
Aux dirigeantes de l’association des femmes ‘Habad, dans
la ville de New Haven, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai eu connaissance, avec plaisir, de l’activité de votre groupe et de la dernière réunion qui a été convoquée, de même que de la chaleureuse motivation des participantes, comme le précise la lettre de madame Sarah Deutsch. D.ieu fasse que cette introduction soit en un bon moment et d’une manière positive.
Les activités que vous décrivez et celles qui y prennent part seront, d’après l’expression de la Sidra de cette semaine, “ pour élever la lumière perpétuelle ”. On fera donc en sorte que la lumière juive, l’âme d’un Juif, de laquelle il est dit : “ la lumière de D.ieu est l’âme de l’homme ”, soit brillante chez chacun, qu’elle illumine en permanence la maison et l’entourage, matériellement et spirituellement. De la sorte, à n’en pas douter, on attirera le plus grand nombre de femmes juives, dans l’esprit de ce qui vient d’être dit, conformément aux exigences et aux espoirs de nos maîtres et chefs, dont le mérite nous protégera. Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles très rapidement,