Lettre n° 8971
[27 Nissan 5725]
Il semble que vous ayez reçu des informations inexactes(1). En effet, lorsque je me suis entretenu avec le Rav Mena’hem Ha Cohen, à propos des Séfers Torah que l’on envoie en notre Terre Sainte(2), puisse-t-elle restaurée et rebâtie, en présence de monsieur Ichaya, j’ai clairement souligné que je ne faisais pas de différence entre un Mochav et l’autre, un Kfar et l’autre. Il suffit que ce soit un endroit où le Séfer Torah sera effectivement utilisé. Je souligne donc clairement que je ne les donne pas à une certaine institution ou bien à un certain Kfar. Il ne faudra pas rechercher, dans mes propos, la moindre discrimination. Ce serait le contraire de mon intention. J’ai demandé également, quand on donnera le Séfer Torah à un certain endroit, de préciser que je ne l’ai pas envoyé précisément pour cet endroit, car tel n’est pas mon propos. On se contentera de dire que le Séfer Torah a été envoyé par le centre Loubavitch se trouvant ici, mais qu’en revanche, il n’a pas été décidé a priori, d’ici, de les attribuer à tel endroit ou à telle institution, ce qui aurait pour effet d’exclure les autres endroits et les autres institutions.
D’après votre première lettre, je pense qu’il n’est pas inutile d’ajouter un autre point, également basé sur les discussions que nous avons eues, lorsque vous vous trouviez ici. Nous considérions, l’un et l’autre, qu’il n’y a pas lieu de se servir de la Torah et de la religion dans l’intérêt des partis(3) qui n’ont pas de rapport avec la religion. Il en est donc de même pour ce qui fait l’objet de notre propos. Il ne faut pas se servir d’un Séfer Torah qui a été envoyé d’ici, ni de n’importe quel autre Séfer Torah, en ayant un tel objectif.
Notes
(1) Cette lettre est adressée à monsieur Yossef Dekel. Voir, à son sujet, la lettre n°8699.
(2) Afin d’être offerts à des lieux qui n’en possèdent pas.
(3) Politiques en Erets Israël.
Il semble que vous ayez reçu des informations inexactes(1). En effet, lorsque je me suis entretenu avec le Rav Mena’hem Ha Cohen, à propos des Séfers Torah que l’on envoie en notre Terre Sainte(2), puisse-t-elle restaurée et rebâtie, en présence de monsieur Ichaya, j’ai clairement souligné que je ne faisais pas de différence entre un Mochav et l’autre, un Kfar et l’autre. Il suffit que ce soit un endroit où le Séfer Torah sera effectivement utilisé. Je souligne donc clairement que je ne les donne pas à une certaine institution ou bien à un certain Kfar. Il ne faudra pas rechercher, dans mes propos, la moindre discrimination. Ce serait le contraire de mon intention. J’ai demandé également, quand on donnera le Séfer Torah à un certain endroit, de préciser que je ne l’ai pas envoyé précisément pour cet endroit, car tel n’est pas mon propos. On se contentera de dire que le Séfer Torah a été envoyé par le centre Loubavitch se trouvant ici, mais qu’en revanche, il n’a pas été décidé a priori, d’ici, de les attribuer à tel endroit ou à telle institution, ce qui aurait pour effet d’exclure les autres endroits et les autres institutions.
D’après votre première lettre, je pense qu’il n’est pas inutile d’ajouter un autre point, également basé sur les discussions que nous avons eues, lorsque vous vous trouviez ici. Nous considérions, l’un et l’autre, qu’il n’y a pas lieu de se servir de la Torah et de la religion dans l’intérêt des partis(3) qui n’ont pas de rapport avec la religion. Il en est donc de même pour ce qui fait l’objet de notre propos. Il ne faut pas se servir d’un Séfer Torah qui a été envoyé d’ici, ni de n’importe quel autre Séfer Torah, en ayant un tel objectif.
Notes
(1) Cette lettre est adressée à monsieur Yossef Dekel. Voir, à son sujet, la lettre n°8699.
(2) Afin d’être offerts à des lieux qui n’en possèdent pas.
(3) Politiques en Erets Israël.