Lettre n° 8995
Par la grâce de D.ieu,
18 Sivan 5725,
Brooklyn,
A monsieur E. Paz,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre du 15 Sivan, m’apprenant l’effroyable nouvelle du décès de madame Sheindel(1), de même que celui de votre épouse, puisse-t-elle reposer en paix et que D.ieu vous accorde une longue vie. De fait, je vous exprime mes remerciements chaleureux pour m’avoir fait savoir tout cela. Puisse D.ieu faire qu’à l’avenir, nous nous annoncions l’un à l’autre uniquement de bonnes nouvelles, d’un bien visible et tangible.
Notre coutume(2) est de placer la pierre tombale le plus tôt possible, à condition que les sept jours du deuil soit passés. Je souhaite prendre en charge les frais financiers qui en résulteront et je suis certain que telle aurait également été la volonté de ma mère, la Rabbanit(3), puisse-t-elle reposer en paix. Si vous vous en êtes personnellement chargé, vous voudrez bien m’indiquer ce que cela a coûté et à qui il faut verser cette somme. Si d’autres s’en sont occupés, vous aurez l’amabilité de me le faire savoir, afin que je puisse m’adresser à eux ou bien vous leur transmettrez vous-même les termes de la présente. Quelle que soit la façon pour laquelle vous opterez, je vous en remercie d’avance.
De même, je me permet de vous demander ce qu’il en est pour la récitation du Kaddish, par exemple. Bien entendu, s’il y a des dépenses, en la matière également(4), il m’appartiendra de les acquitter, en vous remerciant pour ce que vous avez fait. Avec mes respects et ma bénédiction, comme je le disais, pour me donner de bonnes nouvelles à l’avenir,
Notes
(1) Madame S. Yanowski, une parente du Rabbi, appartenant à la famille de sa mère.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°8269.
(3) La Rabbanit ‘Hanna, décédée le 6 Tichri de cette même année 5725.
(4) Si quelqu’un doit être payé pour le réciter.
18 Sivan 5725,
Brooklyn,
A monsieur E. Paz,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre du 15 Sivan, m’apprenant l’effroyable nouvelle du décès de madame Sheindel(1), de même que celui de votre épouse, puisse-t-elle reposer en paix et que D.ieu vous accorde une longue vie. De fait, je vous exprime mes remerciements chaleureux pour m’avoir fait savoir tout cela. Puisse D.ieu faire qu’à l’avenir, nous nous annoncions l’un à l’autre uniquement de bonnes nouvelles, d’un bien visible et tangible.
Notre coutume(2) est de placer la pierre tombale le plus tôt possible, à condition que les sept jours du deuil soit passés. Je souhaite prendre en charge les frais financiers qui en résulteront et je suis certain que telle aurait également été la volonté de ma mère, la Rabbanit(3), puisse-t-elle reposer en paix. Si vous vous en êtes personnellement chargé, vous voudrez bien m’indiquer ce que cela a coûté et à qui il faut verser cette somme. Si d’autres s’en sont occupés, vous aurez l’amabilité de me le faire savoir, afin que je puisse m’adresser à eux ou bien vous leur transmettrez vous-même les termes de la présente. Quelle que soit la façon pour laquelle vous opterez, je vous en remercie d’avance.
De même, je me permet de vous demander ce qu’il en est pour la récitation du Kaddish, par exemple. Bien entendu, s’il y a des dépenses, en la matière également(4), il m’appartiendra de les acquitter, en vous remerciant pour ce que vous avez fait. Avec mes respects et ma bénédiction, comme je le disais, pour me donner de bonnes nouvelles à l’avenir,
Notes
(1) Madame S. Yanowski, une parente du Rabbi, appartenant à la famille de sa mère.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°8269.
(3) La Rabbanit ‘Hanna, décédée le 6 Tichri de cette même année 5725.
(4) Si quelqu’un doit être payé pour le réciter.