Lettre n° 8999
Par la grâce de D.ieu,
28 Sivan 5725,
Brooklyn,
Aux participants à la réunion restreinte de Kfar ‘Habad,
pour l’organisation du village de jeunesse de Beth Rivka,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 22 Sivan, mais il n’y apparaît pas, d’une façon parfaitement claire, si vous mettez l’accent sur le Beth Rivka ou bien sur le village de jeunesse, ce qui est, bien évidemment, un programme beaucoup plus large. Mais, le premier(1) présente également un avantage. Il est réalisable plus facilement.
En tout état de cause(2), il est clair que ce projet est judicieux, important et très positif. Toutefois, avant(2) de s’y engager, il faut vérifier si vous avez les moyens d’éviter les causes qui ont été à l’origine de la situation particulièrement surprenante et même effroyable, affectant tous les programmes de construction, à Kfar ‘Habad et faisant qu’un laps de temps particulièrement long doit s’écouler avant que l’on commence à bouger(2), puis qu’il y a une interruption et que l’on avance des explications diverses et variées afin de la justifier. Un longue durée s’écoule encore, puis l’on bouge pour la seconde fois. Il en a bien été ainsi pour le centre des jeunes(3), puisque l’on a commencé à bouger(2) douze mois après avoir posé la première pierre Cela a aussi été le cas pour la construction des maisons pour telle et telle personne, sur tel terrain. De manière courante(2), une période de deux ou trois ans est nécessaire ! Et, bien entendu, on trouve, à chaque fois, des justifications diverses et variées.
Or, il est bien connu(2) que telle communauté de notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, a été bâtie en six mois, que tel village, avec quelques maisons, a été construit en un temps encore plus court. Bien plus, au sein même de ce qui concerne les ‘Hassidim, le quartier ‘Habad de la ville sainte de Jérusalem, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie a été construit et il se développe. Il n’y a pas lieu d’en dire plus, tant cela est effroyable. A quoi bon établir encore un autre programme(2), si l’on n’a pas, d’emblée, la certitude qu’il est concrètement applicable ? Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
C. M. Simpson,
Notes
(1) Le projet Beth Rivka.
(2) Le Rabbi souligne les mots : “ en tout état de cause ”, “ avant ”, “ bouger ”, “ commencé à bouger ”, “ courante ”, “ bien connu ” et “ programme ”.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°8850.
28 Sivan 5725,
Brooklyn,
Aux participants à la réunion restreinte de Kfar ‘Habad,
pour l’organisation du village de jeunesse de Beth Rivka,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 22 Sivan, mais il n’y apparaît pas, d’une façon parfaitement claire, si vous mettez l’accent sur le Beth Rivka ou bien sur le village de jeunesse, ce qui est, bien évidemment, un programme beaucoup plus large. Mais, le premier(1) présente également un avantage. Il est réalisable plus facilement.
En tout état de cause(2), il est clair que ce projet est judicieux, important et très positif. Toutefois, avant(2) de s’y engager, il faut vérifier si vous avez les moyens d’éviter les causes qui ont été à l’origine de la situation particulièrement surprenante et même effroyable, affectant tous les programmes de construction, à Kfar ‘Habad et faisant qu’un laps de temps particulièrement long doit s’écouler avant que l’on commence à bouger(2), puis qu’il y a une interruption et que l’on avance des explications diverses et variées afin de la justifier. Un longue durée s’écoule encore, puis l’on bouge pour la seconde fois. Il en a bien été ainsi pour le centre des jeunes(3), puisque l’on a commencé à bouger(2) douze mois après avoir posé la première pierre Cela a aussi été le cas pour la construction des maisons pour telle et telle personne, sur tel terrain. De manière courante(2), une période de deux ou trois ans est nécessaire ! Et, bien entendu, on trouve, à chaque fois, des justifications diverses et variées.
Or, il est bien connu(2) que telle communauté de notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, a été bâtie en six mois, que tel village, avec quelques maisons, a été construit en un temps encore plus court. Bien plus, au sein même de ce qui concerne les ‘Hassidim, le quartier ‘Habad de la ville sainte de Jérusalem, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie a été construit et il se développe. Il n’y a pas lieu d’en dire plus, tant cela est effroyable. A quoi bon établir encore un autre programme(2), si l’on n’a pas, d’emblée, la certitude qu’il est concrètement applicable ? Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
C. M. Simpson,
Notes
(1) Le projet Beth Rivka.
(2) Le Rabbi souligne les mots : “ en tout état de cause ”, “ avant ”, “ bouger ”, “ commencé à bouger ”, “ courante ”, “ bien connu ” et “ programme ”.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°8850.