Lettre n° 9005
Par la grâce de D.ieu,
11 Tamouz 5725,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux multiples
connaissances, le Rav Avraham,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre(1). Et, l’on confère un mérite à des jours qui sont, par nature, propices(2), en l’occurrence ceux de la fête de la libération, les 12 et 13 Tamouz, délivrance de mon beau-père, le Rabbi. Vous avez sûrement connaissance de ce qui se passa, à l’époque.
Puisse donc D.ieu faire que chacun soit délivré des éléments malencontreux ou, tout au moins, faisant obstacle à une activité positive, qui contribue à l’objectif profond, à l’accomplissement de la mission que l’homme reçoit sur la terre, sa transformation en un Temple, un Sanctuaire pour D.ieu. Pour cela, selon les termes de nos Sages(3), on doit bâtir pour Lui une demeure ici-bas. On a fait le serment de s’y consacrer(4) et même des serments, au pluriel, en ce sens. Or, on sait quel est le contenu(5) d’un serment(6). Il s’agit d’une force accrue qui est accordée à l’homme dans le but de mettre en pratique la Mitsva. C’est la raison pour laquelle, Chevoua, le serment, est de la même étymologie que Sova, la satiété, comme l’explique longuement un discours ‘hassidique du Tséma’h Tsédek, dont c’est la centième année depuis le décès, qui est intitulé : “ On le fait jurer d’être un Juste ”(7). Avec mes respects et ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Voir le Likouteï Si’hot, tome 33, à la page 238.
(2) Selon le traité Taanit 29a.
(3) Dans le Midrash Tan’houma, Parchat Nasso, au chapitre 16. Voir aussi le Tanya, au début du chapitre 36.
(4) Selon le traité Nedarim 8a.
(5) Le Rabbi souligne le mot : “ contenu ”.
(6) Voir, à ce sujet, la lettre n°8768.
(7) Figurant dans les notes et résumés sur le Tanya, édition de 5749, à partir de la page 169.
11 Tamouz 5725,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux multiples
connaissances, le Rav Avraham,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre(1). Et, l’on confère un mérite à des jours qui sont, par nature, propices(2), en l’occurrence ceux de la fête de la libération, les 12 et 13 Tamouz, délivrance de mon beau-père, le Rabbi. Vous avez sûrement connaissance de ce qui se passa, à l’époque.
Puisse donc D.ieu faire que chacun soit délivré des éléments malencontreux ou, tout au moins, faisant obstacle à une activité positive, qui contribue à l’objectif profond, à l’accomplissement de la mission que l’homme reçoit sur la terre, sa transformation en un Temple, un Sanctuaire pour D.ieu. Pour cela, selon les termes de nos Sages(3), on doit bâtir pour Lui une demeure ici-bas. On a fait le serment de s’y consacrer(4) et même des serments, au pluriel, en ce sens. Or, on sait quel est le contenu(5) d’un serment(6). Il s’agit d’une force accrue qui est accordée à l’homme dans le but de mettre en pratique la Mitsva. C’est la raison pour laquelle, Chevoua, le serment, est de la même étymologie que Sova, la satiété, comme l’explique longuement un discours ‘hassidique du Tséma’h Tsédek, dont c’est la centième année depuis le décès, qui est intitulé : “ On le fait jurer d’être un Juste ”(7). Avec mes respects et ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Voir le Likouteï Si’hot, tome 33, à la page 238.
(2) Selon le traité Taanit 29a.
(3) Dans le Midrash Tan’houma, Parchat Nasso, au chapitre 16. Voir aussi le Tanya, au début du chapitre 36.
(4) Selon le traité Nedarim 8a.
(5) Le Rabbi souligne le mot : “ contenu ”.
(6) Voir, à ce sujet, la lettre n°8768.
(7) Figurant dans les notes et résumés sur le Tanya, édition de 5749, à partir de la page 169.