Lettre n° 908
Par la grâce de D.ieu,
2 Adar Richon 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu des nouvelles de votre oncle par plusieurs de nos émissaires qui, de temps à autre, se rendent en Suisse, de même que par vos parents, qui se trouvent ici.
J’ai également eu l’occasion de faire sa connaissance et de m’apercevoir à quel point un caractère comme le sien a besoin d’amitié et de sympathie.
Il est sûrement inutile de vous préciser tout cela ou d’en montrer l’importance, du point de vue humain comme de celui de la Torah. Je me permets, néanmoins, de souligner l’immense Mitsva que vous accomplissez, avec votre épouse, en accordant à votre oncle plus que l’attention et l’amitié courantes.
Mon beau-père, le Rabbi, souligne que D.ieu ne reste jamais en dette. Je suis certain qu’Il vous récompensera avec un grand succès, une vie heureuse et beaucoup de satisfaction de votre fils.
Avec mes voeux de bénédiction et de réussite pour vous et pour les vôtres,
Mena’hem Schneerson,
2 Adar Richon 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu des nouvelles de votre oncle par plusieurs de nos émissaires qui, de temps à autre, se rendent en Suisse, de même que par vos parents, qui se trouvent ici.
J’ai également eu l’occasion de faire sa connaissance et de m’apercevoir à quel point un caractère comme le sien a besoin d’amitié et de sympathie.
Il est sûrement inutile de vous préciser tout cela ou d’en montrer l’importance, du point de vue humain comme de celui de la Torah. Je me permets, néanmoins, de souligner l’immense Mitsva que vous accomplissez, avec votre épouse, en accordant à votre oncle plus que l’attention et l’amitié courantes.
Mon beau-père, le Rabbi, souligne que D.ieu ne reste jamais en dette. Je suis certain qu’Il vous récompensera avec un grand succès, une vie heureuse et beaucoup de satisfaction de votre fils.
Avec mes voeux de bénédiction et de réussite pour vous et pour les vôtres,
Mena’hem Schneerson,