Par la grâce de D.ieu,

11 Chevat 5726,
Brooklyn,

Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux
besoins communautaires, le Rav Yossef(1) et son épouse,

Je vous salue et vous bénis,

Pour faire suite à notre conversation, lors de votre visite ici, j’espère que nos propos auront le prolongement qui convient et, selon la formulation de nos Sages(2), qu’ils conduiront à l’action. Bien plus, il s’agit, en l’occurrence, de l’éducation des fils et des filles d’Israël. Or, la question de l’éducation s’est posée, de tout temps, en tout lieu et combien plus est-elle d’actualité en notre époque de confusion et de déconvenue, surtout en un lieu où, pour l’heure, ceux qui respectent la Torah et les Mitsvot, dans leur existence quotidienne, ne sont pas la majorité absolue.

Je mentionnerai vos noms, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous ayez une considérable réussite, en tous les domaines, dans la joie et l’enthousiasme. Nous venons de vivre le dixième jour de Chevat…(3)

Notes

(1) Le Rav Y. Brauner, de Johannesburg.
(2) Dans le traité Kiddouchin 40b.
(3) La fin de cette lettre est la même que celle de la précédente.