Lettre n° 9095
Par la grâce de D.ieu,
18 Chevat 5726,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et assume
une mission sacrée(1), le Rav…,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à ce que vous m’avez communiqué, concernant l’état de votre épouse(2). Puisse D.ieu faire que les jours de sa grossesse se passent bien et qu’ils soient aisés, qu’elle ait un enfant en bonne santé, en son temps, de la manière qui convient et facilement. Vous connaissez l’enseignement de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, selon lequel elle ne doit pas faire connaître son état avant d’entrer dans le cinquième mois(3). Avec ma bénédiction,
Pour une certaine raison, l’envoi de la présente a été retardé et, entre temps, j’ai reçu vos lettres concernant l’école et le projet que vous envisagez désormais, celui de rejoindre… Il est clair qu’il n’y a pas lieu de soulever une controverse, surtout comme celle-ci et vous devez comprendre ce que je veux dire. Je suis surpris que vous puissiez même y penser. Une telle proposition ne doit même pas être imaginée. Je viens de recevoir vos lettres du 7 Adar et la précédente. Comme je l’ai dit, il est hors de question que vous interveniez dans cette controverse. Vous continuerez donc à assumer vos fonctions actuelles, dans l’endroit où vous vous trouvez actuellement.
Notes
(1) L’enseignement basé sur les valeurs sacrées.
(2) Voir le Nél’ha Be Or’hotav, à la page 202.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°7618.