Par la grâce de D.ieu,

1er Mena’hem Av 5726,
Brooklyn,

A madame Breïna(1),

Je vous bénis et vous salue,

Par l’intermédiaire du distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, le Rav Aharon Israël Denberg, j’ai eu connaissance de votre état de santé. En un moment propice, votre nom a été mentionné près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.

Le mérite de ce que vous faites pour ses institutions, à titre personnel ou bien en persuadant le autres d’apporter leur contribution aux écoles de mon beau-père, le Rabbi, de les soutenir, vous protégera afin d’avoir une prompte guérison, une guérison complète. De cette façon, encore pendant de nombreuses et bonnes années, vous pourrez poursuivre l’action qui vient d’être décrite, avec un bon moral. Avec ma bénédiction pour me donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,

N. B. : Précisément pendant ce Chabbat, qui a accordé la bénédiction au mois de Mena’hem Av, de nombreux Juifs ont lu des Tehilim, conformément à la pratique qui a été instaurée par mon beau-père, le Rabbi, le matin, avant la prière, dans le livre(2) que vous avez eu le mérite de publier(3), en son temps, avec le commentaire du Tséma’h Tsédek.

Notes

(1) Madame B. Blumberg, de Montréal.
(2) Il s’agit du Tehilim Yohel Or, que le Rabbi utilisait lui-même, chaque Chabbat bénissant le mois, jusqu’à celui qui a béni le mois de Mena’hem Av 5745 (1985).
(3) La famille Denberg avait participé au financement de la publication de ce livre. Voir, à ce sujet, la lettre n°2074.