Lettre n° 929
Par la grâce de D.ieu,
27 Adar Richon 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je me désolais de votre long silence et de ne pas avoir eu de vos nouvelles. J’ai donc été particulièrement satisfait de recevoir votre lettre, dans laquelle vous m’annoncez que, D.ieu merci, vous allez mieux. Bien évidemment, je lirai la demande de bénédiction que vous m’avez adressée près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi.
Je réitère ma demande. Vous devez méditer et fixer en votre esprit que D.ieu dirige le monde, de même que chacun et chacune d’entre nous, en particulier. Il n’y a donc pas lieu d’être soucieux. Il est clair que D.ieu fera que tout soit pour le mieux. Il ne nous appartient pas de nous substituer à Lui, dans ce domaine. Nous devons nous limiter à la Torah et aux Mitsvot, pour lesquelles nous avons reçu le libre arbitre.
Je n’introduis ici aucune idée nouvelle. Tout cela est bien évident et chacun en a conscience, mais on peut n’en avoir qu’une notion superficielle et, concrètement, faire comme si tout dépendait de nous même. De la sorte, on se complique la vie et, au sens le plus littéral, l’existence quotidienne. A l’opposé, lorsque l’on est pénétré de l’idée que “ D.ieu est mon Berger ”, le corps et l’âme animale ressentent que “ je ne manquerai de rien ”.
Mon but n’est nullement de vous faire de la morale, ce qu’à D.ieu ne plaise, mais votre douleur et votre peine, qui sont sans fondement et sûrement sans existence réelle, m’affectent. La ‘Hassidout explique la différence entre une épreuve et la nécessité de transformer la matière du monde.
J’espère avoir de vos bonnes nouvelles, apprendre que vous allez mieux, de même que votre épouse, ma proche parente.
Avec ma bénédiction,
27 Adar Richon 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je me désolais de votre long silence et de ne pas avoir eu de vos nouvelles. J’ai donc été particulièrement satisfait de recevoir votre lettre, dans laquelle vous m’annoncez que, D.ieu merci, vous allez mieux. Bien évidemment, je lirai la demande de bénédiction que vous m’avez adressée près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi.
Je réitère ma demande. Vous devez méditer et fixer en votre esprit que D.ieu dirige le monde, de même que chacun et chacune d’entre nous, en particulier. Il n’y a donc pas lieu d’être soucieux. Il est clair que D.ieu fera que tout soit pour le mieux. Il ne nous appartient pas de nous substituer à Lui, dans ce domaine. Nous devons nous limiter à la Torah et aux Mitsvot, pour lesquelles nous avons reçu le libre arbitre.
Je n’introduis ici aucune idée nouvelle. Tout cela est bien évident et chacun en a conscience, mais on peut n’en avoir qu’une notion superficielle et, concrètement, faire comme si tout dépendait de nous même. De la sorte, on se complique la vie et, au sens le plus littéral, l’existence quotidienne. A l’opposé, lorsque l’on est pénétré de l’idée que “ D.ieu est mon Berger ”, le corps et l’âme animale ressentent que “ je ne manquerai de rien ”.
Mon but n’est nullement de vous faire de la morale, ce qu’à D.ieu ne plaise, mais votre douleur et votre peine, qui sont sans fondement et sûrement sans existence réelle, m’affectent. La ‘Hassidout explique la différence entre une épreuve et la nécessité de transformer la matière du monde.
J’espère avoir de vos bonnes nouvelles, apprendre que vous allez mieux, de même que votre épouse, ma proche parente.
Avec ma bénédiction,