Lettre n° 9309
[Nissan 5727]
Il n’y a pas lieu(1) de fonder un bureau, car il y en a suffisamment(2). Si l’on diffuse des causeries dont le texte n’est pas corrigé, certains, en dehors des élèves de la Yechiva Tom’heï Temimim, m’en attribueront les erreurs, malgré les déclarations qui ont été faites, à ce sujet, avec toutes les conséquences indésirables que cela pourra avoir. Vous devez comprendre ce que je veux dire. Il n’en est pas de même, en revanche, pour les livres de nos maîtres qui sont actuellement publiés. En plus de leur sainteté et de leur rigoureuse vérité, qui en sont, au final, l’aspect essentiel, ceux-ci sont effectivement relus. Cela est vrai aussi pour la relecture(3) des Conversations avec les jeunes en yiddish, en anglais, de même que celle du yiddish Heim(4).
Notes
(1) Cette lettre est adressée au Rav Ben Tsion Chem Tov, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°7279.
(2) Le Rav Chem Tov demandait au Rabbi s’il devait créer un bureau pour la diffusion des causeries du Rabbi. C’est à la suite de cette requête que fut fondé le “comité pour la diffusion des causeries”.
(3) Le Rabbi souligne : “pour la relecture”.
(4) Organe des femmes et jeunes filles ‘Habad à New York.