Lettre n° 969
Par la grâce de D.ieu,
6 Nissan 5711,
Brooklyn,
A l’association des jeunes femmes Loubavitch et,
à leur tête, la Rabbanit Mindel Kats,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai reçu avec satisfaction votre lettre, de même que le don qui y était joint, afin d’être réparti entre les différentes institutions qui ont été fondées et dirigées par mon beau-père, le Rabbi. Vous trouverez ci-joint les reçus.
Vous poursuivrez sûrement votre action positive et vous ferez ce qui est en votre pouvoir pour soutenir largement nos saintes institutions. Vous forgerez ainsi les canaux véhiculant la bénédiction céleste et la réussite.
En cette période qui sépare Pourim de Pessa’h, les femmes doivent tout particulièrement méditer à l’importance de ces fêtes et aux enseignements qu’elles délivrent. Pourim et Pessa’h commémorent le salut et la délivrance. Une différence existe, cependant, entre elles.
La délivrance de Pourim intervint lorsque les Juifs se trouvaient en exil et, pendant quelques temps, ils y demeurèrent encore par la suite. A Pessa’h, en revanche, ils furent totalement libérés. Ayant été esclaves, ils devinrent des hommes libres.
Cependant, et je voudrais souligner ce point ici, dans un cas comme dans l’autre, la délivrance fut obtenue par l’intermédiaire des femmes. A Pourim, ce fut Esther. Quant à Pessa’h, nos Sages disent que la délivrance intervint par le mérite des femmes vertueuses, qui surent encourager et renforcer leurs maris, éduquer les enfants, former une génération juive fervente, malgré les difficultés et les obstacles de l’exil.
De toutes leurs forces, les femmes juives doivent perpétuer la chaîne en or, forgée par leurs mères et leurs grands mères, au fils des générations. Ainsi, leur action hâtera la délivrance complète, par notre juste Machia’h, très bientôt et de nos jours.
Avec ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse,
6 Nissan 5711,
Brooklyn,
A l’association des jeunes femmes Loubavitch et,
à leur tête, la Rabbanit Mindel Kats,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai reçu avec satisfaction votre lettre, de même que le don qui y était joint, afin d’être réparti entre les différentes institutions qui ont été fondées et dirigées par mon beau-père, le Rabbi. Vous trouverez ci-joint les reçus.
Vous poursuivrez sûrement votre action positive et vous ferez ce qui est en votre pouvoir pour soutenir largement nos saintes institutions. Vous forgerez ainsi les canaux véhiculant la bénédiction céleste et la réussite.
En cette période qui sépare Pourim de Pessa’h, les femmes doivent tout particulièrement méditer à l’importance de ces fêtes et aux enseignements qu’elles délivrent. Pourim et Pessa’h commémorent le salut et la délivrance. Une différence existe, cependant, entre elles.
La délivrance de Pourim intervint lorsque les Juifs se trouvaient en exil et, pendant quelques temps, ils y demeurèrent encore par la suite. A Pessa’h, en revanche, ils furent totalement libérés. Ayant été esclaves, ils devinrent des hommes libres.
Cependant, et je voudrais souligner ce point ici, dans un cas comme dans l’autre, la délivrance fut obtenue par l’intermédiaire des femmes. A Pourim, ce fut Esther. Quant à Pessa’h, nos Sages disent que la délivrance intervint par le mérite des femmes vertueuses, qui surent encourager et renforcer leurs maris, éduquer les enfants, former une génération juive fervente, malgré les difficultés et les obstacles de l’exil.
De toutes leurs forces, les femmes juives doivent perpétuer la chaîne en or, forgée par leurs mères et leurs grands mères, au fils des générations. Ainsi, leur action hâtera la délivrance complète, par notre juste Machia’h, très bientôt et de nos jours.
Avec ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse,