Lettre n° 978
Par la grâce de D.ieu,
12 Nissan 5711,
Brooklyn,
A mon proche parent, le Rav, distingué ‘Hassid,
qui craint D.ieu, le Rav Yossef ‘Haïm Chlomo(1),
Je vous salue et vous bénis,
Vous m’avez annoncé le mariage de votre petite fille Rivka. Je vous adresse donc ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov. Le couple basera son foyer sur la Torah et les Mitsvot telles qu’elles sont présentées par l’enseignement de la ‘Hassidout. Les parents et les grands parents concevront de l’un et de l’autre beaucoup de satisfaction, matériellement et spirituellement.
Je vous souhaite Mazal Tov, de même qu’une fête de Pessa’h cachère et joyeuse.
Vous trouverez ci-joint le récépissé du colis par lequel je vous fais parvenir un cadeau de mariage.
Concernant votre question :
A) Dans quel texte le Tséma’h Tsédek évoque-t-il le fait de porter une montre pendant le Chabbat ? Je n’ai rien entendu, à ce propos et il me semble qu’il ne traite pas de cette question dans les livres qui sont imprimés. Peut-être existe-t-il une tradition orale, en la matière(2).
B) Comment le Chabbat peut-il bénir les jours qui le précèdent ? Ceci peut être comparé au fait que, dans différents domaines, la sainteté du Chabbat commence déjà à la veille de ce jour, parfois même dès le matin du vendredi.
Sur cette question précise, vous consulterez le Michnat ‘Hassidim, chapitre sur le mercredi, paragraphe 3, alinéa 2 et les références en correspondance du Chaar Hakavanot et du Peri Ets ‘Haïm. Vous verrez aussi le Siddour Yaabets , qui explique pour quelle raison on supprime la prière Vihi Noam du rituel du samedi soir, lorsqu’une fête survient pendant cette semaine. Ce texte précise que la sainteté de cette fête protège aussi les jours qui la précèdent.
Notes
(1) Le Rav Y. H. C. Schneersohn.
(2) Par ailleurs, le Rabbi demanda lui-même de ne pas porter une montre pendant le Chabbat et les fêtes.
12 Nissan 5711,
Brooklyn,
A mon proche parent, le Rav, distingué ‘Hassid,
qui craint D.ieu, le Rav Yossef ‘Haïm Chlomo(1),
Je vous salue et vous bénis,
Vous m’avez annoncé le mariage de votre petite fille Rivka. Je vous adresse donc ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov. Le couple basera son foyer sur la Torah et les Mitsvot telles qu’elles sont présentées par l’enseignement de la ‘Hassidout. Les parents et les grands parents concevront de l’un et de l’autre beaucoup de satisfaction, matériellement et spirituellement.
Je vous souhaite Mazal Tov, de même qu’une fête de Pessa’h cachère et joyeuse.
Vous trouverez ci-joint le récépissé du colis par lequel je vous fais parvenir un cadeau de mariage.
Concernant votre question :
A) Dans quel texte le Tséma’h Tsédek évoque-t-il le fait de porter une montre pendant le Chabbat ? Je n’ai rien entendu, à ce propos et il me semble qu’il ne traite pas de cette question dans les livres qui sont imprimés. Peut-être existe-t-il une tradition orale, en la matière(2).
B) Comment le Chabbat peut-il bénir les jours qui le précèdent ? Ceci peut être comparé au fait que, dans différents domaines, la sainteté du Chabbat commence déjà à la veille de ce jour, parfois même dès le matin du vendredi.
Sur cette question précise, vous consulterez le Michnat ‘Hassidim, chapitre sur le mercredi, paragraphe 3, alinéa 2 et les références en correspondance du Chaar Hakavanot et du Peri Ets ‘Haïm. Vous verrez aussi le Siddour Yaabets , qui explique pour quelle raison on supprime la prière Vihi Noam du rituel du samedi soir, lorsqu’une fête survient pendant cette semaine. Ce texte précise que la sainteté de cette fête protège aussi les jours qui la précèdent.
Notes
(1) Le Rav Y. H. C. Schneersohn.
(2) Par ailleurs, le Rabbi demanda lui-même de ne pas porter une montre pendant le Chabbat et les fêtes.