Rambam 1 Chapitre
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
26 Adar 5785 / 03.26.2025
Lois relatives aux ustensiles : Chapitre Dix-neuf (Version non corrigée)
1. Quelle doit être la taille de la cassure d’un récipient en poterie pour qu’il soit purifié de son état d’impureté s’il est impur ou pour qu’il ne contracte pas l’impureté s’il est pur ? Ce [un récipient] qui est fait pour les aliments, dès qu’il a un trou de taille suffisante pour faire sortir des olives, et ce [un récipient] qui est fait pour les boissons, dès qu’il a un trou de taille suffisante pour qu’un liquide pénètre à l’intérieur, [c'est-à-dire que] lorsqu’il est posé sur un liquide, le liquide pénètre par le trou. Ce [un récipient] qui est fait pour l’un et pour l’autre, on applique [la mesure] la plus rigoureuse, et il, et il est susceptible de contracter l’impureté dès qu’il a un trou de la taille suffisante pour faire sortir une olive. Ils [les sages] n’ont indiqué [la mesure de] « pour faire sortir un liquide » [qui est inférieure à la mesure nécessaire pour faire pénétrer un liquide] qu’en ce qui concerne un guistera, parce qu’il est fait pour contenir le liquide qui coule des récipients, et s’il laisse les liquides s’échapper, il ne remplit plus sa fonction.
2. Il y a cinq niveaux de [cassures dans les] récipients en poterie : s’il [un récipient en poterie] a un trou de la taille suffisante pour faire sortir un liquide, il ne peut pas contracter l’impureté en tant que guistera, mais il est toujours considéré comme un ustensile pour ce qui est de sanctifier l’eau lustrale. S’il a un trou de taille suffisante pour permettre à un liquide de pénétrer, il n’est pas apte à la sanctification de l’eau lustrale mais il est toujours considéré comme un ustensile pour ce qui est de rendre les semences aptes [à contracter l’impureté] par l’eau qui y a été puisée, comme nous l’avons expliqué. S’il a un trou de la taille d’une petite racine, l’eau qui y est contenue de rend pas les semences aptes [à contracter l’impureté], et elle [l’eau] est considérée comme si elle n’était pas dans un récipient mais il [le récipient] est toujours considéré comme un ustensile pour contenir des olives, et il est susceptible de contracter l’impureté. S’il a un trou de taille suffisante pour que les olives tombent, il est pur, et est considéré comme les ustensiles en excréments et en pierre qui ne sont pas susceptibles de contracter l’impureté, mais il est toujours considéré comme un ustensile pour ce qui est de préserver [son contenu de l’impureté dans la tente d’un cadavre] quand il est fermé hermétiquement, à moins qu’il [le trou] s’étende sur la majeure partie [de sa surface], comme nous l’avons expliqué dans [les lois sur] l’impureté du cadavre (au chapitre vingt-deux).
3. Pour une jarre, la mesure [du trou pour qu’il soit conséquent] est la taille d’une noix. Pour une terrine et une marmite, la mesure [du trou] est la taille d’une olive. Et de même, un pétrin en poterie, même s’il est grand et a une capacité de quarante séa de liquide, et qu’il a un trou de taille suffisante pour faire sortir des olives, bien qu’il soit possible de le pencher sur le côté et de pétrir à l’intérieur, il est pur [non susceptible de contracter l’impureté], car il n’a pas a été fabriqué à cet effet [pour pétrir quand il est penché sur le côté].
4. Pour une fiole et un téni , les mesures [précédemment évoqués, à savoir trou de la taille permettant de sortir ou de pénétrer] sont comptés avec de l’huile, et pour le tsartsour [cf. ch. 13 § 10], la mesure est évaluée avec de l’eau.
5. Une lampe dont l’extrémité [où est posée la mèche] a été retirée est pure [non susceptible de contracter l’impureté], et celle [la lampe] qui est en terre [qui n’a pas été cuite au four, comme une poterie] qui a été chauffée par la mèche n’est pas susceptible de contracter l’impureté, et ne fait pas partie des ustensiles en poterie, à moins qu’elle soit entièrement cuite au four, comme les ustensiles en poterie.
6. Une jarre qui a eu un trou, et qui peut contenir, quand on la penche sur le côté, ou qui a été coupée [de haut en bas] de manière semblable à deux pétrins, est toujours susceptible de contracter l’impureté. Si elle est craquelée et ne peut pas être portée [sans se briser] avec un demi kav de figues sèches est pure.
7. Une jarre dont les anses ont été retirées est considérée comme un guistera, même si une seule anse [a été retirée]. Si elle est fendue en dessous du niveau des anses, bien que les anses soient intactes, elle est considérée comme une guistera [parce qu’elle se brise si elle est portée avec ses anses]. Et si elle a été a priori fabriquée sans anses, elle est considérée comme une jarre [normale].
8. Une jarre qui s’est fendue dans le four et se trouve être comme deux gistera, si elle s’est fendue après que sa confection ait été achevée, chaque guistera est susceptible de contracter l’impureté. Et si elle s’est fendue avant que sa confection soit achevée et qu’elle a ensuite été cuite au four, elle est pur. Comment peut-on vérifier cela [si elle a été brisée avant ou après que sa confection ait été achevée] ? Si les morceaux sont lisses [et non avec des pointes], et que l’intérieur est rougeâtre, cela prouve qu’il a été brisé après que sa confection ait été achevée, et il est susceptible de contracter l’impureté comme les autres tessons de poterie aptes à être utilisés.
9. Un guistera qui est craquelé et ne peut pas contenir de liquide, bien qu’il puisse contenir des aliments, est pur [non susceptible de contracter l’impureté], car il [un guistera] ne sert qu’à contenir le liquide qui coule [des grands récipients], comme nous l’avons expliqué, et s’il [le guistera] fuit, on ne fait pas un [autre] guisera pour ce guistera [mais seulement pour un récipient, par conséquent, le premier guistera qui ne remplit pas sa fonction n’a aucune utilité]. Et de même, un guistera qui a eu un trou ou a été coupé en deux est pur [non susceptible de contracter l’impureté], car ils [les sages] n’ont pas dit que les « restes des restes » sont susceptibles de contracter l’impureté ; plutôt, seuls les restes des ustensiles en poterie sont susceptibles de contracter l’impureté.
10. Un guistera qui a des pointes qui font saillies [de sa paroi], qu’il soit posé [sur son fond] ou penché sur le côté, toutes les pointes qui peuvent contenir des olives quand le guistera est remplir d’olives, sont susceptibles de contracter l’impureté par le contact, et par l’espace intérieur de la partie qui est en face d’elles. Et toute [pointe] qui ne peut pas contenir d’olives est susceptible de contracter l’impureté par le contact et n’est pas susceptible de contracter l’impureté par l’espace intérieur de la partie qui est en face d’elle.
11. Que signifie qu’elle contracte l’impureté par le contact alors qu’elle ne contracte pas l’impureté par l’espace intérieur de la partie qui est en face d’elle ? Si une impureté est en contact avec la paroi intérieure du guistera, la pointe devient impure. Si une impureté pénètre dans l’espace intérieur du guistera, même si elle est en face de la pointe, la pointe ne devient pas impure.
12. Et que signifie qu’elle contracte l’impureté par l’espace intérieur de la partie qui est en face ? Si l’impureté est dans l’espace intérieur du guistera en face de la pointe, la pointe devient impure avec le guistera. Et la même règle s’applique à chaque fois qu’il est dit d’un ustensile en poterie, d’un four, ou d’une kira, qu’il contracte l’impureté par le contacte, et la partie en face par l’espace intérieur, ou que la partie en face ne contracte pas l’impureté par l’espace intérieur. Et de même, l’impureté par le contact évoquée dans le contexte des ustensiles en poterie consiste à ce qu’une impureté soit en contact avec leur paroi intérieure, et l’impureté par l’espace intérieur consiste à ce qu’il n’y ait aucun contact avec l’impureté, mais qu’elle pénètre seulement dans l’espace intérieur [de l’ustensile].
13. Une jarre craquelée qui a été enduite de fumier, bien que les tessons tombent si l’on enlève le fumier, est susceptible de contracter l’impureté, parce qu’elle n’a pas perdu son statut d’ustensile. Si elle est brisée et que l’on colle les tessons après qu’ils se soient séparés ou que l’on prend d’autres tessons et qu’on les enduit de fumier [pour former une jarre], même si les tessons tiennent quand on enlève le fumier, elle [la jarre] est pure [non susceptible de contracter l’impureté], parce qu’elle a perdu le statut d’ustensile. S’il y a un tesson qui contient un révi’it, seul ce tesson est susceptible de contracter l’impureté par la partie qui est en face de lui, parce qu’il constitue un ustensile à part. Et le reste de la jarre ne contracte l’impureté que si une impureté est en contact avec sa paroi extérieure, parce que cela n’est pas un récipient entier.
14. Si une jarre a eu un trou et que le trou a été bouché avec de la poix, puis qu’elle a été brisée, si le tesson bouché par la poix peut contenir un révi’it, il est susceptible de contracter l’impureté, parce qu’il compte parmi les morceaux brisés de la jarre, et elle [la jarre] n’a pas perdu son statut d’ustensile. Mais si un tesson a un trou après avoir été séparé du récipient [initial] et que le trou est bouché avec de la poix, bien qu’il puisse contenir un révi’it, il est pur [non susceptible de contracter l’impureté], parce qu’un tesson troué perd son statut d’ustensile et devient pur, et tout ustensile en poterie pendant un moment n’est jamais susceptible de contracter l’impureté.
15. Si une bouilloire a un trou et qu’il est réparé [bouché] avec de la poix, elle [la bouilloire] est pure, parce qu’elle ne peut pas contenir de l’eau chaude comme de l’eau froide [sans se brisé, car la poix fond avec l’eau chaude]. Et de même, les récipients en poix, en cire, et ce qui est semblable sont purs [non susceptibles de contracter l’impureté], et ne font pas partie des ustensiles.
16. Un entonnoir en poterie [d’un particulier, cf. 18 : 3] qui est bouché avec de la poix n’est pas susceptible de contracter l’impureté, car la poix n’en fait pas un récipient. Par contre, un entonnoir en bois bouché est considéré comme un récipient et est susceptible de contracter l’impureté [parce que la poix s’attache bien avec le bois].
2. Il y a cinq niveaux de [cassures dans les] récipients en poterie : s’il [un récipient en poterie] a un trou de la taille suffisante pour faire sortir un liquide, il ne peut pas contracter l’impureté en tant que guistera, mais il est toujours considéré comme un ustensile pour ce qui est de sanctifier l’eau lustrale. S’il a un trou de taille suffisante pour permettre à un liquide de pénétrer, il n’est pas apte à la sanctification de l’eau lustrale mais il est toujours considéré comme un ustensile pour ce qui est de rendre les semences aptes [à contracter l’impureté] par l’eau qui y a été puisée, comme nous l’avons expliqué. S’il a un trou de la taille d’une petite racine, l’eau qui y est contenue de rend pas les semences aptes [à contracter l’impureté], et elle [l’eau] est considérée comme si elle n’était pas dans un récipient mais il [le récipient] est toujours considéré comme un ustensile pour contenir des olives, et il est susceptible de contracter l’impureté. S’il a un trou de taille suffisante pour que les olives tombent, il est pur, et est considéré comme les ustensiles en excréments et en pierre qui ne sont pas susceptibles de contracter l’impureté, mais il est toujours considéré comme un ustensile pour ce qui est de préserver [son contenu de l’impureté dans la tente d’un cadavre] quand il est fermé hermétiquement, à moins qu’il [le trou] s’étende sur la majeure partie [de sa surface], comme nous l’avons expliqué dans [les lois sur] l’impureté du cadavre (au chapitre vingt-deux).
3. Pour une jarre, la mesure [du trou pour qu’il soit conséquent] est la taille d’une noix. Pour une terrine et une marmite, la mesure [du trou] est la taille d’une olive. Et de même, un pétrin en poterie, même s’il est grand et a une capacité de quarante séa de liquide, et qu’il a un trou de taille suffisante pour faire sortir des olives, bien qu’il soit possible de le pencher sur le côté et de pétrir à l’intérieur, il est pur [non susceptible de contracter l’impureté], car il n’a pas a été fabriqué à cet effet [pour pétrir quand il est penché sur le côté].
4. Pour une fiole et un téni , les mesures [précédemment évoqués, à savoir trou de la taille permettant de sortir ou de pénétrer] sont comptés avec de l’huile, et pour le tsartsour [cf. ch. 13 § 10], la mesure est évaluée avec de l’eau.
5. Une lampe dont l’extrémité [où est posée la mèche] a été retirée est pure [non susceptible de contracter l’impureté], et celle [la lampe] qui est en terre [qui n’a pas été cuite au four, comme une poterie] qui a été chauffée par la mèche n’est pas susceptible de contracter l’impureté, et ne fait pas partie des ustensiles en poterie, à moins qu’elle soit entièrement cuite au four, comme les ustensiles en poterie.
6. Une jarre qui a eu un trou, et qui peut contenir, quand on la penche sur le côté, ou qui a été coupée [de haut en bas] de manière semblable à deux pétrins, est toujours susceptible de contracter l’impureté. Si elle est craquelée et ne peut pas être portée [sans se briser] avec un demi kav de figues sèches est pure.
7. Une jarre dont les anses ont été retirées est considérée comme un guistera, même si une seule anse [a été retirée]. Si elle est fendue en dessous du niveau des anses, bien que les anses soient intactes, elle est considérée comme une guistera [parce qu’elle se brise si elle est portée avec ses anses]. Et si elle a été a priori fabriquée sans anses, elle est considérée comme une jarre [normale].
8. Une jarre qui s’est fendue dans le four et se trouve être comme deux gistera, si elle s’est fendue après que sa confection ait été achevée, chaque guistera est susceptible de contracter l’impureté. Et si elle s’est fendue avant que sa confection soit achevée et qu’elle a ensuite été cuite au four, elle est pur. Comment peut-on vérifier cela [si elle a été brisée avant ou après que sa confection ait été achevée] ? Si les morceaux sont lisses [et non avec des pointes], et que l’intérieur est rougeâtre, cela prouve qu’il a été brisé après que sa confection ait été achevée, et il est susceptible de contracter l’impureté comme les autres tessons de poterie aptes à être utilisés.
9. Un guistera qui est craquelé et ne peut pas contenir de liquide, bien qu’il puisse contenir des aliments, est pur [non susceptible de contracter l’impureté], car il [un guistera] ne sert qu’à contenir le liquide qui coule [des grands récipients], comme nous l’avons expliqué, et s’il [le guistera] fuit, on ne fait pas un [autre] guisera pour ce guistera [mais seulement pour un récipient, par conséquent, le premier guistera qui ne remplit pas sa fonction n’a aucune utilité]. Et de même, un guistera qui a eu un trou ou a été coupé en deux est pur [non susceptible de contracter l’impureté], car ils [les sages] n’ont pas dit que les « restes des restes » sont susceptibles de contracter l’impureté ; plutôt, seuls les restes des ustensiles en poterie sont susceptibles de contracter l’impureté.
10. Un guistera qui a des pointes qui font saillies [de sa paroi], qu’il soit posé [sur son fond] ou penché sur le côté, toutes les pointes qui peuvent contenir des olives quand le guistera est remplir d’olives, sont susceptibles de contracter l’impureté par le contact, et par l’espace intérieur de la partie qui est en face d’elles. Et toute [pointe] qui ne peut pas contenir d’olives est susceptible de contracter l’impureté par le contact et n’est pas susceptible de contracter l’impureté par l’espace intérieur de la partie qui est en face d’elle.
11. Que signifie qu’elle contracte l’impureté par le contact alors qu’elle ne contracte pas l’impureté par l’espace intérieur de la partie qui est en face d’elle ? Si une impureté est en contact avec la paroi intérieure du guistera, la pointe devient impure. Si une impureté pénètre dans l’espace intérieur du guistera, même si elle est en face de la pointe, la pointe ne devient pas impure.
12. Et que signifie qu’elle contracte l’impureté par l’espace intérieur de la partie qui est en face ? Si l’impureté est dans l’espace intérieur du guistera en face de la pointe, la pointe devient impure avec le guistera. Et la même règle s’applique à chaque fois qu’il est dit d’un ustensile en poterie, d’un four, ou d’une kira, qu’il contracte l’impureté par le contacte, et la partie en face par l’espace intérieur, ou que la partie en face ne contracte pas l’impureté par l’espace intérieur. Et de même, l’impureté par le contact évoquée dans le contexte des ustensiles en poterie consiste à ce qu’une impureté soit en contact avec leur paroi intérieure, et l’impureté par l’espace intérieur consiste à ce qu’il n’y ait aucun contact avec l’impureté, mais qu’elle pénètre seulement dans l’espace intérieur [de l’ustensile].
13. Une jarre craquelée qui a été enduite de fumier, bien que les tessons tombent si l’on enlève le fumier, est susceptible de contracter l’impureté, parce qu’elle n’a pas perdu son statut d’ustensile. Si elle est brisée et que l’on colle les tessons après qu’ils se soient séparés ou que l’on prend d’autres tessons et qu’on les enduit de fumier [pour former une jarre], même si les tessons tiennent quand on enlève le fumier, elle [la jarre] est pure [non susceptible de contracter l’impureté], parce qu’elle a perdu le statut d’ustensile. S’il y a un tesson qui contient un révi’it, seul ce tesson est susceptible de contracter l’impureté par la partie qui est en face de lui, parce qu’il constitue un ustensile à part. Et le reste de la jarre ne contracte l’impureté que si une impureté est en contact avec sa paroi extérieure, parce que cela n’est pas un récipient entier.
14. Si une jarre a eu un trou et que le trou a été bouché avec de la poix, puis qu’elle a été brisée, si le tesson bouché par la poix peut contenir un révi’it, il est susceptible de contracter l’impureté, parce qu’il compte parmi les morceaux brisés de la jarre, et elle [la jarre] n’a pas perdu son statut d’ustensile. Mais si un tesson a un trou après avoir été séparé du récipient [initial] et que le trou est bouché avec de la poix, bien qu’il puisse contenir un révi’it, il est pur [non susceptible de contracter l’impureté], parce qu’un tesson troué perd son statut d’ustensile et devient pur, et tout ustensile en poterie pendant un moment n’est jamais susceptible de contracter l’impureté.
15. Si une bouilloire a un trou et qu’il est réparé [bouché] avec de la poix, elle [la bouilloire] est pure, parce qu’elle ne peut pas contenir de l’eau chaude comme de l’eau froide [sans se brisé, car la poix fond avec l’eau chaude]. Et de même, les récipients en poix, en cire, et ce qui est semblable sont purs [non susceptibles de contracter l’impureté], et ne font pas partie des ustensiles.
16. Un entonnoir en poterie [d’un particulier, cf. 18 : 3] qui est bouché avec de la poix n’est pas susceptible de contracter l’impureté, car la poix n’en fait pas un récipient. Par contre, un entonnoir en bois bouché est considéré comme un récipient et est susceptible de contracter l’impureté [parce que la poix s’attache bien avec le bois].