Sefer Hamitsvot
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
15 Elloul 5784 / 09.18.2024
Cours N° 176
Mitsva positive N° 49 :
Il s'agit du commandement qui nous a été ordonné d'accomplir le service du Jour (de Yom Kippour), c'est-à-dire toutes les offrandes et les confessions qui nous sont enjointes par la Torah pour le Jour du Grand Pardon, afin que nous soyons purifiés de tous nos péchés. C'est le rituel prévu à cet effet. La preuve que l'ensemble de ces rites énumérés dans le chapitre "après la mort" constitue un seul commandement se trouve à la fin du chapitre 5 du Traité Yoma: "Pour tout cérémonial du Jour du Grand Pardon qui vient d'être énuméré dans l'ordre (dans lequel il doit être fait), s'il a fait un acte avant l'autre, c'est comme s'il n'avait rien fait".
Toutes les dispositions concernant ce commandement ont été expliquées dans le Traité consacré à ce sujet, le Traité Yoma.
Mitsva positive N° 118 :
Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint au sujet de celui qui tire profit des objets consacrés au Seigneur ou consomme par inadvertance, par exemple une offrande faite par élévation ("Terouma"), restitue ce dont il a tiré profit ou ce qu'il a mangé en y ajoutant le cinquième en sus, ainsi qu'il est dit: "Quant au tort qu'il a fait au Sanctuaire, il le réparera et ajoutera un cinquième en sus". La Torah prescrit en outre ce qui suit: "Si quelqu'un avait par inadvertance mangé une chose sainte..."
Les dispositions relatives à ce commandement sont expliquées dans le Traité Me'ila et aussi dans le Traité Teroumoth.
Il s'agit du commandement qui nous a été ordonné d'accomplir le service du Jour (de Yom Kippour), c'est-à-dire toutes les offrandes et les confessions qui nous sont enjointes par la Torah pour le Jour du Grand Pardon, afin que nous soyons purifiés de tous nos péchés. C'est le rituel prévu à cet effet. La preuve que l'ensemble de ces rites énumérés dans le chapitre "après la mort" constitue un seul commandement se trouve à la fin du chapitre 5 du Traité Yoma: "Pour tout cérémonial du Jour du Grand Pardon qui vient d'être énuméré dans l'ordre (dans lequel il doit être fait), s'il a fait un acte avant l'autre, c'est comme s'il n'avait rien fait".
Toutes les dispositions concernant ce commandement ont été expliquées dans le Traité consacré à ce sujet, le Traité Yoma.
Mitsva positive N° 118 :
Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint au sujet de celui qui tire profit des objets consacrés au Seigneur ou consomme par inadvertance, par exemple une offrande faite par élévation ("Terouma"), restitue ce dont il a tiré profit ou ce qu'il a mangé en y ajoutant le cinquième en sus, ainsi qu'il est dit: "Quant au tort qu'il a fait au Sanctuaire, il le réparera et ajoutera un cinquième en sus". La Torah prescrit en outre ce qui suit: "Si quelqu'un avait par inadvertance mangé une chose sainte..."
Les dispositions relatives à ce commandement sont expliquées dans le Traité Me'ila et aussi dans le Traité Teroumoth.