Sefer Hamitsvot
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
23 Elloul 5784 / 09.26.2024
Cours N° 184
Mitsva négative N° 144 :
Il nous est interdit de consommer la chair du premier-né, lorsqu'il est sans défaut, en dehors de Jérusalem. C'est tiré du verset: "Tu ne pourras pas consommer dans tes villes... les premiers-nés de ton gros [ni de ton menu] bétail". A ce sujet, le Sifri s'exprime ainsi: "...les premiers-nés: il s'agit des premiers-nés au sens strict de ce terme... et l'objet de ce texte est de nous enseigner qu'un profane qui consomme un premier-né sans défaut, que ce soit avant comme après l'aspersion du sang, enfreint un commandement négatif.
Tu vois donc ainsi clairement que cette interdiction englobe deux sujets: la prohibition pour un profane de consommer un premier-né sans défaut [même à Jérusalem] et celle pour le prêtre de le consommer en dehors de Jérusalem, les deux constituant la loi relative au premier-né sans défaut.
Celui qui transgresse cette interdiction est passible de la bastonnade.
Mitsva négative N° 108 :
C'est l'interdiction qui nous a été faite de racheter le premier-né du bétail pur, car il est dit: "Mais le premier-né de la vache, ni celui de la brebis, ni celui de la chèvre, tu ne peux les libérer: ils sont saints". Mais, il est permis de les vendre, ainsi que c'est expliqué dans le Traité Bekhoroth.
Le Sifra s'exprime ainsi: "Au sujet du premier-né, il dit: Tu ne peux le libérer, mais il peut être vendu".
Il nous est interdit de consommer la chair du premier-né, lorsqu'il est sans défaut, en dehors de Jérusalem. C'est tiré du verset: "Tu ne pourras pas consommer dans tes villes... les premiers-nés de ton gros [ni de ton menu] bétail". A ce sujet, le Sifri s'exprime ainsi: "...les premiers-nés: il s'agit des premiers-nés au sens strict de ce terme... et l'objet de ce texte est de nous enseigner qu'un profane qui consomme un premier-né sans défaut, que ce soit avant comme après l'aspersion du sang, enfreint un commandement négatif.
Tu vois donc ainsi clairement que cette interdiction englobe deux sujets: la prohibition pour un profane de consommer un premier-né sans défaut [même à Jérusalem] et celle pour le prêtre de le consommer en dehors de Jérusalem, les deux constituant la loi relative au premier-né sans défaut.
Celui qui transgresse cette interdiction est passible de la bastonnade.
Mitsva négative N° 108 :
C'est l'interdiction qui nous a été faite de racheter le premier-né du bétail pur, car il est dit: "Mais le premier-né de la vache, ni celui de la brebis, ni celui de la chèvre, tu ne peux les libérer: ils sont saints". Mais, il est permis de les vendre, ainsi que c'est expliqué dans le Traité Bekhoroth.
Le Sifra s'exprime ainsi: "Au sujet du premier-né, il dit: Tu ne peux le libérer, mais il peut être vendu".