Rambam 3 Chapitres
Notons que bon nombre de ces lois ne sont pas la halakha, c'est-à-dire la pratique observée dans les communautés juives. Elles ne sauraient donc en aucun cas être prises comme référence. Veuillez noter également que cette version est un premier essai qui fera l'objet de corrections ultérieures.
17 Tichri 5785 / 10.19.2024
Lois relatives à la vache rousse : Chapitre Quatorze
1. Un récipient en argile à l’intérieur duquel se trouve la cendre du [sacrifice] purificateur et qui est en contact, par sa paroi extérieure, avec un animal rampant [parmi les huit mentionnés dans la Thora] est pur, car un récipient en argile ne contracte pas l’impureté par sa paroi extérieure, même en ce qui concerne le [sacrifice] purificateur. S’il a posé le récipient sur [la carcasse d’]un animal rampant [parmi les huit cités dans la Thora], bien que le récipient ne soit pas devenu impur, la cendre est impure, ainsi qu’il est dit : « et il [la] placera à l’extérieur du camp à un endroit pur », et cela n’est pas un endroit pur. Et [ce ne s’applique] pas seulement [s’il le pose] sur un rampant [parmi les huit mentionnés dans la Thora], mais même s’il le pose sur un aliment [qui a un statut de] second [degré d’impureté] ou quelque chose de semblable, dont l’impureté est légère et relève d’un ordre rabbinique, la cendre devient impure, ainsi qu’il est dit : « à un endroit pur » ; il ne faut pas qu’elle se trouve sur quelque impureté que ce soit. Et de même, [dans le cas d’]un récipient en argile dans lequel se trouve de la cendre du [sacrifice] purificateur et qui est posé sur une lucarne d’une maison impure, si le récipient est suspendu dans la maison [la partie de la lucarne qui est dans la maison sans qu’il pénètre toutefois dans l’espace intérieur de la maison], la cendre devient impure, bien que la lucarne n’ait pas un espace d’un téfa’h [sur un téfa’h]. Et s’il n’est pas suspendu [mais est posé sur la lucarne], si la lucarne a un espace d’un téfa’h [sur un téfa’h], il est impur.
2. Si le récipient est en pierre, qu’elle [la lucarne] est une surface d’un téfa’h [sur un téfa’h] ou non, la cendre est pure.
3. Et de même, [dans le cas d’]un récipient dans lequel se trouve de la cendre [de la vache rousse ou de l’eau sanctifiée et qui est fermé hermétiquement et est posé dans le ohel d’un cadavre, la cendre et l’eau sont impures, car la cendre du [sacrifice] purificateur n’est pas préservée [de l’impureté] par la fermeture hermétique [du récipient en argile], ainsi qu’il est dit : « à un endroit pur » ; et cela n’est pas un endroit pur.
4. Et de même, les aliments et les boissons qui sont consacrés ne sont pas préservés [de l’impureté] par une fermeture hermétique [du récipient dans lequel ils se trouvent]. Par contre, l’eau qui n’est pas sanctifiée et un récipient vide pur pour [l’eau lustrale] sont préservés [de l’impureté] par une fermeture hermétique. Dans quel cas cela s’applique-t-il ? Si les propriétaires sont purs. Par contre, si les propriétaires sont devenus impurs, l’eau devient invalide, quel que soit l’endroit où elle se trouve. Quel est le cas ? Si l’eau se trouve [dans un récipient] fermé hermétiquement, et que lui [le propriétaire] et elle [l’eau] se trouvent dans le ohel d’un cadavre, les deux sont impurs. Si lui est à l’extérieur, et l’eau qui n’est pas sanctifiée est à l’intérieur, les deux sont purs. Si lui est à l’intérieur et l’eau à l’extérieur, de même que lui est impur, ainsi, l’eau est invalide.
5. [Dans le cas d’]une personne pure pour [l’eau] lustrale qui se trouve sur un four [en argile] ou quelque chose de semblable parmi les récipients qui ne sont pas purs pour [l’eau] lustrale, avec la main à l’extérieur du four et un récipient qui contient l’eau lustrale dans la main, et de même, [dans le cas d’]un roseau posé sur un four, et deux récipients qui contiennent de l’eau lustrale y sont suspendus, de part et d’autre, elles [les eaux] sont impures, parce qu’elles [les eaux] ne sont pas dans un endroit qui est pur pour [l’eau] lustrale, et étant donné qu’elles sont tenues grâce au four, cela est considéré comme si elles étaient dessus. Par contre, s’il se tient sur le four avec un récipient vide pur pour [l’eau] lustrale ou de l’eau qui n’a pas été sanctifiée dans la main, ils [le récipient et l’eau] sont purs comme auparavant. S’il se tient à l’extérieur du four et étend la main à la fenêtre, prend un récipient qui contient [l’eau] lustrale et le fait passer au-dessus du four, il est pur. Et de même, [l’eau lustrale] aspergée qui est passée au-dessus d’une impureté, comme la couche ou le siège [d’un zav] ou quelque chose de semblable, elle [l’eau] est pure.
6. Soit un récipient qui contient l’eau lustrale et un récipient qui contient des offrandes qui ont été en contact ; le récipient qui contient [l’eau] lustrale devient impur, avec tout ce qu’il contient, mais le récipient qui contient des offrandes reste pur comme auparavant. Et de même, si une personne pure pour [l’eau] lustrale a touché un les deux [récipients] de ses deux mains alors qu’ils étaient sur le sol, le [récipient qui contient l’eau] lustrale devient impur, car cette personne qui est pure pour [l’eau] lustrale devient impure en touchant le récipient qui n’est pas pur pour [l’eau] lustrale, comme nous l’avons expliqué, et contamine ainsi l’eau lustrale.
7. S’il [cette personne évoquée au § précédent] a soulevé les deux récipients de ses deux mains, les deux sont impurs : celui [le récipient qui contient l’eau] lustrale est devenu impur, parce qu’il a été en contact avec un homme qui a touché un récipient qui n’est pas pur pour [l’eau] lustrale, et celui [le récipient qui contient] les offrandes est devenu impur, du fait de celui qui l’a soulevé, qui était impur en portant l’eau d’aspersion qui rend impur quand elle est portée, puisqu’elle est devenue impure du fait du récipient [qui contient] des offrandes. C’est pourquoi, si le récipient [qui contient] des offrandes était enveloppé par du papyrus et qu’il l’a soulevé par le papyrus sans le toucher et a soulevé [l’eau] lustrale de sa seconde main, les deux sont purs, parce qu’il n’a pas touché au récipient [qui contient des offrandes] et n’est pas devenu impur pour [le récipient qui contient l’eau] lustrale. Mais s’il a touché le récipient [qui contient] des offrandes avec la main, même si [le récipient contenant l’eau] lustrale était enveloppé par du papyrus, les deux sont impurs.
8. S’il a déplacé les deux récipients à la main sans les toucher, les deux sont purs, car un récipient qui n’est pas pur pour [l’eau] lustrale contamine une personne qui est pure pour [l’eau] lustrale que si elle le touche à la main, à moins qu’il soit apte à être piétiné, comme nous l’avons expliqué [ch. 13 § 7]
9. Tous les cas de doute d’impureté qui sont [considérés] purs par rapport à la térouma, comme cela sera expliqué, sont [considérés] purs par rapport à [l’eau] lustrale. Et tous les cas de doute [d’impureté] pour lesquels on met en suspend la térouma, s’ils se présentent pour [l’eau] lustrale, elle est versée. Et si des choses pures [pour l’eau lustrale] ont été faites avec ces ustensiles, ou par un homme est sujet à ces doutes pour lesquels [l’eau] lustrale est versée, ces choses pures sont mises en suspend. Et les treillis en bois ne sont pas considérés comme des ustensiles et sont purs pour la térouma, pour les offrandes et pour [l’eau] lustrale.
10. Une pâte de dattes sèches de térouma qui est tombée dans l’eau lustrale, et on l’a pris et mangée, si elle a le volume d’un œuf, l’eau est impure, que la pâte ait été impure ou qu’elle ait été pure, car tous les aliments, même un aliment consacré, ne sont pas purs pour [l’eau] lustrale. Et celui qui la mange [la pâte] est passible de mort, pour avoir mangé de la térouma alors qu’il était déjà devenu impur par l’eau d’aspersion. Et si elle n’a pas le volume d’un œuf, l’eau reste pure, car un aliment ne contamine pas d’autres choses, à moins qu’il y ait le volume d’un œuf, pour la térouma, pour les offrandes, et pour [l’eau] lustrale.
Lois relatives à la vache rousse : Chapitre Quinze
1. Ce qui touche l’eau lustrale, même si cela n’est pas nécessaire pour l’aspersion, que ce soit un homme ou des ustensiles, est impur, et ne contamine pas les vêtements au moment où il la touche, ainsi qu’il est dit : « et celui qui touche aux eaux d’aspersion sera impur jusqu’au soir ». Tu apprends donc que l’eau d’aspersion est l’un des pères d’impureté qui relève de la Thora et son impureté par le contact [se communique même] avec une quantité infime [d’eau]. Et s’il y a suffisamment [d’eau] pour l’aspersion, elle communique l’impureté par le contact et en étant portée. Et celui qui touche [cette eau] ou la porte alors que cela n’est pas nécessaire, contamine à [ses] vêtements au moment où il la touche ou au moment où il la porte jusqu’à ce qu’il se détache de ce qui le rend impur [les vêtements qu’il touche par la suite sont purs], ainsi qu’il est dit : « et celui qui fait aspersion de l’eau d’aspersion lavera ses vêtements » ; il n’est pas [ici] fait référence à celui qui fait aspersion sur une personne impure, [car] s’il purifie la personne impure, a fortiori est-il lui-même pur ! Par tradition orale, ils [les sages] ont appris que ce qui est dit dans la Thora : « et celui qui fait aspersion de l’eau d’aspersion » ne concerne que la mesure, [c'est-à-dire que] celui qui touche ou porte un volume d’eau d’aspersion suffisant alors que cela n’est pas nécessaire pour l’aspersion est impur et contamine des vêtements selon la Thora. Quel est le volume nécessaire pour faire aspersion ? [Le volume suffisant pour] tremper les extrémités des tiges d’origan dans l’eau. Dans quel cas dit-on que l’eau lustrale communique l’impureté ? Quand on la touche ou qu’on la porte sans que cela soit nécessaire avant quelle ait servi au commandement qui y est lié. Toutefois, après avoir été utilisée pour le commandement, elle ne communique pas l’impureté. Comment cela s'applique-t-il ? Quand il trempe l’origan et fait aspersion sur une personne impure ou sur des ustensiles et l’eau coule de la personne impure sur le sol, et de même, l’eau qui est projetée au moment de l’aspersion sur le sol ou sur une personne pure, cette eau est pure, et celui qui la touche ou qui la porte est pur. S’il trempe l’origan pour faire aspersion sur une chose qui ne contracte pas l’impureté, l’eau qui s’égoutte [de l’origan dans un récipient pur] est valide pour faire l’aspersion, comme nous l’avons expliqué ; aussi communique-t-elle l’impureté liée à l’eau lustrale, parce qu’elle n’a pas été utilisée pour le commandement, car le trempage était fait pour quelque chose qui ne contracte pas l’impureté.
2. L’eau lustrale ne communique l’impureté à tout avant d’être utilisée pour le commandement que si elle est pure et valide pour l’aspersion. Par contre, l’eau lustrale qui est devenue invalide, par exemple, [l’eau lustrale] dans laquelle s’est mélangée de l’eau ou dont un animal a bu ou quelque chose de semblable parmi les facteurs qui la rendent invalide, si une personne pure pour la térouma la touche, elle devient impure, qu’elle la touche de ses mains ou avec une autre partie de son corps. Si un homme pur pour [l’eau] lustrale y a touché, même avec se mains, il est pur comme auparavant.
3. L’eau lustrale qui est devenue impure et à laquelle un homme pur pour la térouma avec sa main ou avec [une autre partie de] son corps a touché après qu’elle devienne impure. Et si un [homme] pur pour [l’eau] lustrale la touche de ses mains, il devient impur. S’il touche avec une autre partie de son corps, il est pur comme auparavant.
4. L’eau lustrale dans laquelle est tombée de l’eau d’une source, de l’eau d’un bain rituel ou du jus de fruits, s’il y a une majorité d’eau lustrale, elle communique l’impureté en étant portée. Et s’il y a une majorité de jus de fruits, elle ne communique pas l’impureté. S’il y a une moitié de chacun, elle communique l’impureté. Soit de la cendre d’une vache [rousse] qui s’est mélangée avec de la cendre de bois [profane brûlé], et on a sanctifié avec toute [la cendre], si la majorité était de la cendre de la vache [rousse], elle communique l’impureté, comme l’eau d’aspersion. Et s’il y avait une majorité de cendre de bois, elle ne communique pas l’impureté par le contact, mais elle communique l’impureté en étant portée.
5. Soit de la cendre valide que l’on a déposée sur de l’eau qui n’est pas valide pour la sanctification, et une personne pure pour la térouma y a touché de ses mains ou de son corps, elle devient impure. Si une personne pure pour [l’eau] lustrale y a touché, même avec ses mains, elle est pure comme auparavant.
6. De l’eau lustrale qui est devenue invalide ne doit pas être pétrie avec de l’argile, pour ne pas que ce soit une source d’erreur pour les autres, de crainte qu’il [une personne] touche l’argile et devienne impur, car l’eau lustrale n’est pas annulée dans l’argile, comme il est dit : « c’est un purificateur ».
7. Une vache qui a bu de l’eau lustrale, bien qu’elle ait été abattue durant les vingt-quatre [heures qui ont suivi si bien que la digestion n’est pas terminée], sa chair est pure, ainsi qu’il est dit : « gardée pour l’eau d’aspersion » ; quand elle est surveillée, elle n’est pas annulée. Mais quand une vache en boit, elle est annulée, car elle n’est pas surveillée.
8. Soit une personne qui fait aspersion d’une fenêtre qui sert à faire aspersion sur plusieurs personnes, et il [personne] reçoit l’aspersion, et entre dans le Temple, puis l’eau se trouve être invalide, il [ce dernier] est exempt [d’être entré dans le Temple en état d’impureté], car l’eau dont on fait aspersion sur le public est présumée valide, et il est considéré comme dans un cas de circonstances imprévisibles. Mais s’il a reçu l’aspersion d’une fenêtre d’un particulier et qu’il est entré dans le Temple, et l’eau s’est trouvée être invalide, il est passible [d’apporter] un sacrifice de nature variable, parce qu’il aurait dû s’enquérir de [l’état rituel de] l’eau avant d’entrer dans le Temple. Les gens glissaient à cause de l’eau qui coulait sur le sol de la fenêtre où l’on faisait aspersion sur le public, et ils marchaient dessus et entraient dans le Temple, sans craindre qu’elle [l’eau] ait été invalide.
9. Celui qui fait aspersion avec de l’origan impur pour [l’eau] lustrale, s’il a le volume d’un œuf, l’eau est invalide, et son aspersion est invalide. S’il n’a pas le volume d’un œuf, l’eau est valide, et son aspersion est invalide, et cet origan [s’il a le volume d’un œuf] peut communiquer l’impureté à un autre, et ce dernier à un autre, même s’ils sont cent, car on ne compte pas [le degré de transmission d’impureté] pour [l’eau] lustrale.
10. Celui qui soulève un ustensile qui a reçu l’aspersion, sur lequel il y a une quantité d’eau suffisante pour l’aspersion est pur, car l’eau qui a été utilisée pour le commandement ne communique pas l’impureté, comme nous l’avons expliqué.
Fin des lois sur la vache rousse, avec l’aide de D.ieu.
2. L’eau lustrale ne communique l’impureté à tout avant d’être utilisée pour le commandement que si elle est pure et valide pour l’aspersion. Par contre, l’eau lustrale qui est devenue invalide, par exemple, [l’eau lustrale] dans laquelle s’est mélangée de l’eau ou dont un animal a bu ou quelque chose de semblable parmi les facteurs qui la rendent invalide, si une personne pure pour la térouma la touche, elle devient impure, qu’elle la touche de ses mains ou avec une autre partie de son corps. Si un homme pur pour [l’eau] lustrale y a touché, même avec se mains, il est pur comme auparavant.
3. L’eau lustrale qui est devenue impure et à laquelle un homme pur pour la térouma avec sa main ou avec [une autre partie de] son corps a touché après qu’elle devienne impure. Et si un [homme] pur pour [l’eau] lustrale la touche de ses mains, il devient impur. S’il touche avec une autre partie de son corps, il est pur comme auparavant.
4. L’eau lustrale dans laquelle est tombée de l’eau d’une source, de l’eau d’un bain rituel ou du jus de fruits, s’il y a une majorité d’eau lustrale, elle communique l’impureté en étant portée. Et s’il y a une majorité de jus de fruits, elle ne communique pas l’impureté. S’il y a une moitié de chacun, elle communique l’impureté. Soit de la cendre d’une vache [rousse] qui s’est mélangée avec de la cendre de bois [profane brûlé], et on a sanctifié avec toute [la cendre], si la majorité était de la cendre de la vache [rousse], elle communique l’impureté, comme l’eau d’aspersion. Et s’il y avait une majorité de cendre de bois, elle ne communique pas l’impureté par le contact, mais elle communique l’impureté en étant portée.
5. Soit de la cendre valide que l’on a déposée sur de l’eau qui n’est pas valide pour la sanctification, et une personne pure pour la térouma y a touché de ses mains ou de son corps, elle devient impure. Si une personne pure pour [l’eau] lustrale y a touché, même avec ses mains, elle est pure comme auparavant.
6. De l’eau lustrale qui est devenue invalide ne doit pas être pétrie avec de l’argile, pour ne pas que ce soit une source d’erreur pour les autres, de crainte qu’il [une personne] touche l’argile et devienne impur, car l’eau lustrale n’est pas annulée dans l’argile, comme il est dit : « c’est un purificateur ».
7. Une vache qui a bu de l’eau lustrale, bien qu’elle ait été abattue durant les vingt-quatre [heures qui ont suivi si bien que la digestion n’est pas terminée], sa chair est pure, ainsi qu’il est dit : « gardée pour l’eau d’aspersion » ; quand elle est surveillée, elle n’est pas annulée. Mais quand une vache en boit, elle est annulée, car elle n’est pas surveillée.
8. Soit une personne qui fait aspersion d’une fenêtre qui sert à faire aspersion sur plusieurs personnes, et il [personne] reçoit l’aspersion, et entre dans le Temple, puis l’eau se trouve être invalide, il [ce dernier] est exempt [d’être entré dans le Temple en état d’impureté], car l’eau dont on fait aspersion sur le public est présumée valide, et il est considéré comme dans un cas de circonstances imprévisibles. Mais s’il a reçu l’aspersion d’une fenêtre d’un particulier et qu’il est entré dans le Temple, et l’eau s’est trouvée être invalide, il est passible [d’apporter] un sacrifice de nature variable, parce qu’il aurait dû s’enquérir de [l’état rituel de] l’eau avant d’entrer dans le Temple. Les gens glissaient à cause de l’eau qui coulait sur le sol de la fenêtre où l’on faisait aspersion sur le public, et ils marchaient dessus et entraient dans le Temple, sans craindre qu’elle [l’eau] ait été invalide.
9. Celui qui fait aspersion avec de l’origan impur pour [l’eau] lustrale, s’il a le volume d’un œuf, l’eau est invalide, et son aspersion est invalide. S’il n’a pas le volume d’un œuf, l’eau est valide, et son aspersion est invalide, et cet origan [s’il a le volume d’un œuf] peut communiquer l’impureté à un autre, et ce dernier à un autre, même s’ils sont cent, car on ne compte pas [le degré de transmission d’impureté] pour [l’eau] lustrale.
10. Celui qui soulève un ustensile qui a reçu l’aspersion, sur lequel il y a une quantité d’eau suffisante pour l’aspersion est pur, car l’eau qui a été utilisée pour le commandement ne communique pas l’impureté, comme nous l’avons expliqué.
Fin des lois sur la vache rousse, avec l’aide de D.ieu.
Lois relatives à l’impureté de la lèpre .
Elles comprennent huit commandements, six commandements positifs et deux commandements négatifs, dont voici le détail :
a) donner concernant la lèpre qui atteint l’homme la directive mentionnée dans la Thora b) ne pas couper les signes d’impureté c) ne pas raser la plaie, d) que le lépreux soit reconnaissable par la déchirure de ses vêtements, ?? e) la pureté du lépreux, f) que le lépreux se rase tous ses poils quand il se purifie, g) la loi de la lèpre du vêtement, h) la loi de la lèpre de la maison
Et l'explication de ces commandements se trouve dans les chapitres que voici :
Premier Chapitre
1. La lèpre de la peau consiste à ce qu’une partie de la peau blanchisse, et que le blanc [de la peau] soit comme la membrane d’un œuf ou plus éclatant. Mais un blanc plus terne que [le blanc de] la membrane [à l’intérieur de la coquille] d’un œuf n’est pas la lèpre mais une affection cutanée [pure].
2. Il y a quatre apparences de lèpre de la peau, qui sont : le blanc le plus éclatant qui apparaît sur la chair comme de la neige, qui est appelé : bahérète, et le blanc qui est légèrement plus terne, qui apparaît comme de la laine propre d’un agneau nouveau-né, est appelé : se’ète. Et le blanc qui est légèrement plus terne que se’ète, qui est apparaît comme la chaux du Heikhal, est le dérivé de bahérète, et est appelé : sapa’hat, et le blanc qui est légèrement moins éclatant que la chaux du Heikhal et qui est comme la membrane d’un œuf est le dérivé de se’ète et est également appelé sapa’hat. Tu apprends donc que cela que l’apparence qui est comme la chaux du Heikhal est sapa’hat de bahérète, et l’apparence qui est comme la membrane d’un œuf est sapa’hat de se’ète, car sapa’hat signifie accessoire. De cela, ils [les sages] ont dit que les plaies de la lèpre sont deux qui sont quatre, bahérète, sa secondaire, se’ète et sa secondaire.
3. Ces quatre apparences sont associées l’une avec l’autre, dans le sens de l’indulgence et dans le sens de la rigueur, pour le premier examen de la plaie lépreuse ou à la fin des sept jours [d’enfermement], après que le lépreux ait été débarrassé [de cette plaie lépreuse] ou [que son état ait été] confirmé. Comment cela s'applique-t-il ? Qu’il s’agisse d’une plaie lépreuse entièrement blanche comme la neige, comme la chaux du Heikhal, comme la laine propre, ou comme la membrane d’un œuf, ou d’une plaie lépreuse qui est en partie blanche comme l’apparence de bahérète et en partie comme l’apparence de se’ète, et en partie comme l’apparence de sapa’hat, tout est considéré comme une seule apparence. S’il en est ainsi, pourquoi les sages les ont-ils énumérées et dit : « les apparences de plaies lépreuses sont deux qui sont quatre » ? Pour connaître les apparences, car tout cohen qui ne connaît pas les apparences et leurs désignations, lorsque l’on lui enseigne, ne doit pas examiner la plaie lépreuse avant de pouvoir distinguer et dire : « ceci est bahérète et ceci est sa secondaire, ceci est se’ète et ceci est sa secondaire ».
4. Si une de ces quatre apparences de blanc a une légère rougeâtre qui y est mêlée, cela est également une plaie lépreuse, ainsi qu’il est dit : « ou une bahérète blanche teintée de rouge ». Et identique est la loi pour la se’ète, pour la sapa’hat de la se’ète et pour la sapa’hat de bahérète. Et cette apparence qui est un mélange de blanc et de rouge est appelée patoukh. Quelle est l’apparence du patoukh à l’intérieur des quatre apparences évoquées ci-dessus ? Cela peut être comparé à quatre coupes remplies de lait ; deux gouttes de sang se mélangent à la première coupe, quatre gouttes [de sang] à la seconde, huit gouttes [de sang] à la troisième, et seize gouttes [de sang] à la quatrième. La teinte rouge dans la bahérète correspond à la quatrième apparence, la teinte rouge qui est dans la se’hète ressemble à la troisième apparence, la teinte rouge qui est dans l’auxiliaire de la bahérète ressemble à la teinte de la seconde coupe, et la teinte rouge qui est dans l’auxiliaire de la se’hète ressemble à la teinte de la première coupe.
5. Tous ces aspects, de teinte blanche ou rougeâtre, sont associés les uns avec les autres et sont considérés comme une seule apparence. Que la plaie lépreuse soit entièrement blanche ou en partie blanche et en partie rougeâtre, tout est considéré comme un seul aspect, dans le sens de l’indulgence comme dans le sens de la rigueur.
6. Toute apparence lépreuse de la peau n’est désignée comme une plaie lépreuse et ne contamine que si l’apparence de la plaie est plus profonde que la peau ; cela ne signifie pas qu’elle soit impure quand on la touche, mais à la vue, comme l’aspect du soleil qui est vu par l’œil comme plus profond que l’ombre. Par contre, si l’apparence du blanc ou de la teinte rougeâtre est sur le même plan que le reste de la peau ou surgit en relief par rapport à la peau, cela n’est pas une plaie [lépreuse] mais comme ??
7. La mesure [minimale] de toutes les plaies lépreuses, qu’il s’agisse de la lèpre qui atteint l’homme ou qui atteint les vêtements est la taille d’une fève de Cilicia qui est carrée, ce qui correspond à une surface carrée de la peau où peuvent pousser trente-six poils : six poils en longueur et six poils en largeur. Et toute [plaie] plus petite que cela n’est pas une plaie lépreuse.
8. Une plaie dont la largeur s’étend sur l’espace nécessaire pour que cinq poils poussent, même si elle a une longueur d’une coudée, est pure et n’est pas une plaie lépreuse, jusqu’à ce que sa largeur et sa longueur aoent la taille d’une fève, et toutes les mesures sont une loi transmise oralement à Moïse sur le Sinaï.
9. A chaque fois qu’il est dit [une loi quelconque concernant] la bahérète, cela s’applique également pour les autres quatre apparences de blanc et de teinte rougeâtre, à condition que la plaie ait la taille d’une fève ou [une taille] supérieure à cela, et qu’elle soit plus profonde que la surface de la peau ; c’est cela que l’on appelle : bahérète sans autre précision. Une bahérète qui est éclatante comme la neige paraît terne chez un homme [dont la pigmentation de la peau est] blanche, et une bahérète qui est terne paraît éclatante chez un homme [dont la pigmentation de la peau est] noire. C’est pourquoi, on n’évalue tout[es ces apparences] que par rapport à un [homme dont la pigmentation de la peau est] moyenne, c'est-à-dire qui n’est ni blanc, ni noir.
10. Il y a trois signes d’impureté pour l’affection lépreuse de la peau, qui sont : un poil blanc, la peau normale [au milieu de l’affection], et l’expansion [de l’affection], et les trois sont mentionnés dans la Thora. Comment cela s'applique-t-il ? Celui qui présente une bahérète avec à l’intérieur un poil blanc ou de la chair saine, lorsque le cohen examine, il confirme [la lèpre] et déclare impur. S’il n’y a pas de poil blanc, ni de peau [vivante à l’intérieur de l’affection], il est enfermé pendant sept jours, et au septième [jour], il est examiné [par le cohen] ; si un poil blanc ou de la chair saine est apparu dans la bahérète et qu’elle s’est étendue, elle [la lèpre] est confirmée. S’il n’est pas apparu de poil blanc, ni de chair saine et qu’elle ne s’est pas étendue, il est enfermé une seconde semaine. S’il présente l’un de ces trois signes, il [le cohen], confirme [sa lèpre]. Et sinon, il est pur, et exempté, car il n’existe pas, pour les plaies, d’enfermement de plus de deux semaines. [Toutefois,] si, après qu’il [le cohen] l’ait exempté et déclaré pur, la plaie s’étend ou présente un poil blanc ou de la chair saine, l’impureté est confirmée.
11. Une bahérète qui était éclatante comme la neige, et qui, après qu’il [le lépreux] ait été enfermé, est devenue comme la membrane d’un œuf, ou qui était a priori comme la membrane d’un œuf et qui est devenue comme la neige, garde son statut initial, car l’accentuation de l’éclat n’est pas un signe d’impureté, ni la diminution un signe de pureté. Plutôt, si [son éclat] diminue par rapport aux quatre apparences [précédemment évoquées] et qu’elle devient plus terne que la membrane d’un œuf, étant donné qu’elle est devenue une affection cutanée blanche, il est pur. S’il en est ainsi, quel est le sens de ce qui est dit dans la Thora : « et si la plaie devient plus terne et ne s’étend pas sur la peau, le cohen la déclarera pure » [ce qui semble indiquer que le simple fait que la plaie perd son éclat est un signe de pureté] ? C’est que si elle devient plus terne que les quatre apparences, il est pur [mais non que la perte de l’éclat est en soi un signe de pureté]. Et de même, si elle ne perd pas son éclat, ne s’étend pas, et ne présente ni poil blanc, ni chair saine, il est pur.
a) donner concernant la lèpre qui atteint l’homme la directive mentionnée dans la Thora b) ne pas couper les signes d’impureté c) ne pas raser la plaie, d) que le lépreux soit reconnaissable par la déchirure de ses vêtements, ?? e) la pureté du lépreux, f) que le lépreux se rase tous ses poils quand il se purifie, g) la loi de la lèpre du vêtement, h) la loi de la lèpre de la maison
Et l'explication de ces commandements se trouve dans les chapitres que voici :
Premier Chapitre
1. La lèpre de la peau consiste à ce qu’une partie de la peau blanchisse, et que le blanc [de la peau] soit comme la membrane d’un œuf ou plus éclatant. Mais un blanc plus terne que [le blanc de] la membrane [à l’intérieur de la coquille] d’un œuf n’est pas la lèpre mais une affection cutanée [pure].
2. Il y a quatre apparences de lèpre de la peau, qui sont : le blanc le plus éclatant qui apparaît sur la chair comme de la neige, qui est appelé : bahérète, et le blanc qui est légèrement plus terne, qui apparaît comme de la laine propre d’un agneau nouveau-né, est appelé : se’ète. Et le blanc qui est légèrement plus terne que se’ète, qui est apparaît comme la chaux du Heikhal, est le dérivé de bahérète, et est appelé : sapa’hat, et le blanc qui est légèrement moins éclatant que la chaux du Heikhal et qui est comme la membrane d’un œuf est le dérivé de se’ète et est également appelé sapa’hat. Tu apprends donc que cela que l’apparence qui est comme la chaux du Heikhal est sapa’hat de bahérète, et l’apparence qui est comme la membrane d’un œuf est sapa’hat de se’ète, car sapa’hat signifie accessoire. De cela, ils [les sages] ont dit que les plaies de la lèpre sont deux qui sont quatre, bahérète, sa secondaire, se’ète et sa secondaire.
3. Ces quatre apparences sont associées l’une avec l’autre, dans le sens de l’indulgence et dans le sens de la rigueur, pour le premier examen de la plaie lépreuse ou à la fin des sept jours [d’enfermement], après que le lépreux ait été débarrassé [de cette plaie lépreuse] ou [que son état ait été] confirmé. Comment cela s'applique-t-il ? Qu’il s’agisse d’une plaie lépreuse entièrement blanche comme la neige, comme la chaux du Heikhal, comme la laine propre, ou comme la membrane d’un œuf, ou d’une plaie lépreuse qui est en partie blanche comme l’apparence de bahérète et en partie comme l’apparence de se’ète, et en partie comme l’apparence de sapa’hat, tout est considéré comme une seule apparence. S’il en est ainsi, pourquoi les sages les ont-ils énumérées et dit : « les apparences de plaies lépreuses sont deux qui sont quatre » ? Pour connaître les apparences, car tout cohen qui ne connaît pas les apparences et leurs désignations, lorsque l’on lui enseigne, ne doit pas examiner la plaie lépreuse avant de pouvoir distinguer et dire : « ceci est bahérète et ceci est sa secondaire, ceci est se’ète et ceci est sa secondaire ».
4. Si une de ces quatre apparences de blanc a une légère rougeâtre qui y est mêlée, cela est également une plaie lépreuse, ainsi qu’il est dit : « ou une bahérète blanche teintée de rouge ». Et identique est la loi pour la se’ète, pour la sapa’hat de la se’ète et pour la sapa’hat de bahérète. Et cette apparence qui est un mélange de blanc et de rouge est appelée patoukh. Quelle est l’apparence du patoukh à l’intérieur des quatre apparences évoquées ci-dessus ? Cela peut être comparé à quatre coupes remplies de lait ; deux gouttes de sang se mélangent à la première coupe, quatre gouttes [de sang] à la seconde, huit gouttes [de sang] à la troisième, et seize gouttes [de sang] à la quatrième. La teinte rouge dans la bahérète correspond à la quatrième apparence, la teinte rouge qui est dans la se’hète ressemble à la troisième apparence, la teinte rouge qui est dans l’auxiliaire de la bahérète ressemble à la teinte de la seconde coupe, et la teinte rouge qui est dans l’auxiliaire de la se’hète ressemble à la teinte de la première coupe.
5. Tous ces aspects, de teinte blanche ou rougeâtre, sont associés les uns avec les autres et sont considérés comme une seule apparence. Que la plaie lépreuse soit entièrement blanche ou en partie blanche et en partie rougeâtre, tout est considéré comme un seul aspect, dans le sens de l’indulgence comme dans le sens de la rigueur.
6. Toute apparence lépreuse de la peau n’est désignée comme une plaie lépreuse et ne contamine que si l’apparence de la plaie est plus profonde que la peau ; cela ne signifie pas qu’elle soit impure quand on la touche, mais à la vue, comme l’aspect du soleil qui est vu par l’œil comme plus profond que l’ombre. Par contre, si l’apparence du blanc ou de la teinte rougeâtre est sur le même plan que le reste de la peau ou surgit en relief par rapport à la peau, cela n’est pas une plaie [lépreuse] mais comme ??
7. La mesure [minimale] de toutes les plaies lépreuses, qu’il s’agisse de la lèpre qui atteint l’homme ou qui atteint les vêtements est la taille d’une fève de Cilicia qui est carrée, ce qui correspond à une surface carrée de la peau où peuvent pousser trente-six poils : six poils en longueur et six poils en largeur. Et toute [plaie] plus petite que cela n’est pas une plaie lépreuse.
8. Une plaie dont la largeur s’étend sur l’espace nécessaire pour que cinq poils poussent, même si elle a une longueur d’une coudée, est pure et n’est pas une plaie lépreuse, jusqu’à ce que sa largeur et sa longueur aoent la taille d’une fève, et toutes les mesures sont une loi transmise oralement à Moïse sur le Sinaï.
9. A chaque fois qu’il est dit [une loi quelconque concernant] la bahérète, cela s’applique également pour les autres quatre apparences de blanc et de teinte rougeâtre, à condition que la plaie ait la taille d’une fève ou [une taille] supérieure à cela, et qu’elle soit plus profonde que la surface de la peau ; c’est cela que l’on appelle : bahérète sans autre précision. Une bahérète qui est éclatante comme la neige paraît terne chez un homme [dont la pigmentation de la peau est] blanche, et une bahérète qui est terne paraît éclatante chez un homme [dont la pigmentation de la peau est] noire. C’est pourquoi, on n’évalue tout[es ces apparences] que par rapport à un [homme dont la pigmentation de la peau est] moyenne, c'est-à-dire qui n’est ni blanc, ni noir.
10. Il y a trois signes d’impureté pour l’affection lépreuse de la peau, qui sont : un poil blanc, la peau normale [au milieu de l’affection], et l’expansion [de l’affection], et les trois sont mentionnés dans la Thora. Comment cela s'applique-t-il ? Celui qui présente une bahérète avec à l’intérieur un poil blanc ou de la chair saine, lorsque le cohen examine, il confirme [la lèpre] et déclare impur. S’il n’y a pas de poil blanc, ni de peau [vivante à l’intérieur de l’affection], il est enfermé pendant sept jours, et au septième [jour], il est examiné [par le cohen] ; si un poil blanc ou de la chair saine est apparu dans la bahérète et qu’elle s’est étendue, elle [la lèpre] est confirmée. S’il n’est pas apparu de poil blanc, ni de chair saine et qu’elle ne s’est pas étendue, il est enfermé une seconde semaine. S’il présente l’un de ces trois signes, il [le cohen], confirme [sa lèpre]. Et sinon, il est pur, et exempté, car il n’existe pas, pour les plaies, d’enfermement de plus de deux semaines. [Toutefois,] si, après qu’il [le cohen] l’ait exempté et déclaré pur, la plaie s’étend ou présente un poil blanc ou de la chair saine, l’impureté est confirmée.
11. Une bahérète qui était éclatante comme la neige, et qui, après qu’il [le lépreux] ait été enfermé, est devenue comme la membrane d’un œuf, ou qui était a priori comme la membrane d’un œuf et qui est devenue comme la neige, garde son statut initial, car l’accentuation de l’éclat n’est pas un signe d’impureté, ni la diminution un signe de pureté. Plutôt, si [son éclat] diminue par rapport aux quatre apparences [précédemment évoquées] et qu’elle devient plus terne que la membrane d’un œuf, étant donné qu’elle est devenue une affection cutanée blanche, il est pur. S’il en est ainsi, quel est le sens de ce qui est dit dans la Thora : « et si la plaie devient plus terne et ne s’étend pas sur la peau, le cohen la déclarera pure » [ce qui semble indiquer que le simple fait que la plaie perd son éclat est un signe de pureté] ? C’est que si elle devient plus terne que les quatre apparences, il est pur [mais non que la perte de l’éclat est en soi un signe de pureté]. Et de même, si elle ne perd pas son éclat, ne s’étend pas, et ne présente ni poil blanc, ni chair saine, il est pur.