La Tsedaka est l’argent que l’on remet à un pauvre ou à une institution (éducative, culturelle, cultuelle charitable…) en plus du Maasser (le dixième de ses profits qui doit, de toute manière, être donné à une cause charitable, puisqu’il ne nous appartient pas : il nous a simplement été confié par D.ieu afin que nous ayons le privilège d’agir en tant que Son intermédiaire).
Donner la Tsedaka ne causera aucun manque dans les revenus de la famille. Au contraire ! Nos Sages enseignent : «Donne afin de devenir riche !»


Puisque, de nos jours, de nombreuses femmes travaillent et gagnent de l’argent, il est donc approprié qu’elles aussi contribuent généreusement aux causes charitables.
Il est recommandé de multiplier les boîtes de Tsedaka (dans la cuisine, dans le séjour, dans la chambre de chaque enfant, dans les lieux de travail, dans les magasins, dans la voiture…) On donne la Tsedaka avant la prière, avant un voyage, avant un rendez-vous important, avant un examen, le jour du mariage, avant l’allumage des bougies de Chabbat et des jours de fête… Il est particulièrement recommandé de confier à des enfants ou à des personnes qui partent en voyage des sommes d’argent à remettre à la Tsedaka afin qu’ils soient considérés comme des «émissaires pour une Mitsva – Chalia’h Mitsva».


Plutôt que de jeûner pour un mauvais rêve ou une mauvaise nouvelle, il est recommandé de donner à la Tsedaka la somme d’argent qu’aurait coûté un repas, en principe un multiple de 18 (18 étant la Guematria, la valeur numérique de ‘Hay, la vie).
Il est écrit que le peuple juif sera délivré par Machia’h grâce au mérite de la Tsedaka.

F. L. (d’après le Rabbi)